Conception de votre identité olfactive

Nous concevons le parfum qui constituera votre signature olfactive ou logo olfactif. Ce parfum peut être attentivement sélectionné parmi notre collection de parfums ou créé entièrement sur-mesure.

Sélection de parfums

Après avoir pris connaissance de vos attentes et besoins, nous vous transmettons plusieurs échantillons de parfums ou soumissions s’il s’agit d’une création sur-mesure.

Nous vous présentons nos différents systèmes de diffusion, ou nous vous faisons visiter des lieux dans lesquels nous possédons déjà des installations. Surtout, nous effectuons des tests de diffusion avec les échantillons retenus, entièrement gratuits, dans votre environnement.

Fonctionnement de la stimulation olfactive

La stimulation olfactive est due à la circulation des molécules odorantes dans le courant respiratoire qui passe par les fosses nasales. Ces molécules sont absorbées dans la région supérieure, au contact des muqueuses olfactives (environ 2cm²) tapissées par des millions de cellules dont le pôle périphérique (la dentrite) porte une touffe de cils qui baignent dans un mucus aqueux.

Ces cellules réceptrices, qui sont des neurones, effectuent un premier traitement des messages olfactifs : elles sont en effet capables de reconnaître des substances odorantes puis d’émettre un signal nerveux qui va informer le cerveau.

Pour se faire, la membrane des cils est équipée de structures discrètes, les récepteurs moléculaires. Ce sont des protéines, qui sont complémentaires de certaines molécules odorantes, partenaires en quelque sorte de tel ou tel récepteur.

Il existe ainsi une interaction privilégiée entre un odorant et certaines catégories de récepteurs qui, cependant, ne sont pas très sélectifs : la reconnaissance des molécules odorantes lors du flairage actif est le résultat de l’action d’une population de récepteurs et non pas des récepteurs pris isolément. Ceux-ci sont situés dans l’épithélium olfactif, qui est la zone superficielle de la muqueuse olfactive.

Dans l’épithélium olfactif, les axones des neurones récepteurs passent à travers l’ethmoïde pour se terminer dans le bulbe olfactif sous forme de glomérules, eux-mêmes au contact des cellules mitrales. Ces dernières, neurones relais du bulbe, opèrent par une discrimination des odeurs qui va gagner en précision mais perdre en nuance (image olfactive bulbaire).

Les axones des cellules mitrales rejoignent le cortex olfactif. Bien que ces mécanismes soient encore assez mal connus, d’autres régions du cerveau, associées au traitement du message olfactif, vont intégrer diverses informations sensorielles, marquer l’odeur d’une valeur affective, contribuer aux associations et correspondances et jouer un rôle important dans la mise en mémoire de souvenirs qui ne seront jamais purement olfactifs.

Un souvenir, en effet, est toujours au centre de plusieurs sensations. En résumé, le sens olfactif connu depuis l’aube des temps, est un mécanisme très complexe et qui, par son trajet direct dans le cerveau comparativement aux autres organes sensoriels, offre des combinaisons infinies de codage.